70% des femmes qui souffrent du SOPK présentent une résistance à l’insuline. Cette résistance à l’insuline induit aussi une inflammation de bas grade dans l’organisme.
Ces 2 facteurs peuvent avoir un impact sur le poids (prise de poids ou difficulté à en perdre) et déclencher des symptômes de fatigue, de fringales, des douleurs intenses pendant les règles et des sensibilités digestives.
Par ailleurs, la prise de poids peut amplifier les symptômes du SOPK.
C’est un véritable cercle vicieux. Cependant, il est tout à fait possible d’agir sur ces facteurs avec une prise en charge adaptée et personnalisée.