L’alimentation « anti inflammatoire » peut être proposée dans le cadre de symptômes en lien avec l’endométriose, en cas de Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK), en cas de fibromyalgie, polyarthrite rhumatoïde…
En ce qui concerne l’endométriose, on parle souvent « d’alimentation anti inflammatoire ». Derrière ce terme, c’est de l’alimentation de type méditerranéenne dont il s’agit d’après les études que nous avons actuellement à disposition.
En théorie, cette alimentation anti inflammatoire ou méditerranéenne consiste à augmenter la consommation d’aliments ayant un impact positif sur l’inflammation et de réduire les aliments qui peuvent accentuer l’inflammation dans l’organisme afin de réduire certains symptômes : douleurs, fatigue, inconforts digestifs….
En pratique, ce n’est pas aussi simple. Notamment en cas d’endométriose où d’autres axes sont essentiels à prendre en compte comme le microbiote, le stress oxydant, certaines carences, les perturbateurs endocriniens…
Ci dessous, quelques exemples d’aliments qui ont tendance à participer à l’amélioration des symptômes et ceux qui peuvent les accentuer s’ils sont consommés en excès.